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サン=ミシェル=デ=リオン大聖堂

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    「サン=ミシェル=デ=リオン大聖堂」に行くべストハイキング

    4.7

    (3)

    38

    ハイカー

    1. Limoges-Bénédictinsから出発する Cathédrale Saint-Étienne – サン=テティエンヌ橋 ループコース

    10.7km

    02:52

    120m

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    8月 23, 2025

    A granite hall church in the late Gothic style (14th-15th centuries), topped by a typical Limousin bell tower, 70 meters high and adorned with a copper ball in 1824. Four corner turrets mark the start of the octagonal upper floors.
    The current church was rebuilt on the site of a chapel dedicated very early to the Archangel Saint Michael on a high point in the city, along which the old Roman road from Lyon to Saintes passed. It houses the relics of Saint Martial, the city's first bishop, and Saint Loup, his successor, saved from the revolutionaries of 1793. That year, the church was declared a "Temple of Reason."
    The head (skull) of Saint Martial, patron saint of the city, is shown to the people every seven years during a solemn display, and his bust framed by the letters S and M still constitutes the "furniture" of the coat of arms of Limoges.

    翻訳者 Google •

      10月 6, 2022

      Beautiful church with great stained glass windows, we would not have guessed that. We were totally overwhelmed.
      Two stone lions stand guard at the entrance to the church, but they are very weathered.

      翻訳者 Google •

        on your walk, nice visit to the cathedral. cool especially in summer

        翻訳者 Google •

          8月 16, 2024

          beautiful cathedral which actually allows us to take an interesting break in our walk

          翻訳者 Google •

            2月 17, 2025

            La présence d'un culte sur le tombeau de saint Martial est attestée dès le vie siècle, dans les œuvres de Grégoire de Tours. Vers 680, ce sanctuaire est témoin d'un épisode politique : un homme de guerre, nommé Loup, duc d'Aquitaine et de Vasconie, se révolte contre le pouvoir des rois francs et tente un coup de force dans la ville, qui a une importance stratégique pour le contrôle de l'Aquitaine. Il échoue, d'après les textes, du fait d'un miracle du saint, ou bien par l'opposition des habitants de Limoges.
            Au Moyen Âge, l'abbaye et le quartier qui l'entoure constituent l'un des deux pôles urbains autour desquels la ville se développe. L'autre pôle est regroupé autour de la cathédrale.


            Une basilique consacrée au Sauveur est construite à proximité immédiate, mais à côté, du tombeau de saint Martial au ixe siècle, à une date qui fait débat. Les principales informations données par les sources sur le sujet sont issues des œuvres du chroniqueur Adémar de Chabannes, moine à l'abbaye au début du xie siècle. L'hypothèse traditionnelle considère les datations qu'il indique comme sujettes à caution, car il a développé un dossier de falsification pour faire considérer saint Martial comme un apôtre et non plus comme un confesseur, c'est-à-dire comme un prestigieux compagnon du Christ et non comme un saint ordinaire. Elle refuse donc la chronologie qu'il avance, lorsqu'il indique que la basilique aurait été consacrée en 832 et aurait accueilli le sacre de Charles l'Enfant, fils de Charles II le Chauve comme roi d'Aquitaine en 855 : la construction de cette église n'aurait guère eu de sens quelques années avant la transformation de la communauté qui desservait le sanctuaire en abbaye bénédictine, en 848. Cependant, une autre hypothèse, plus récente, pourrait valider la chronologie d'Adémar de Chabannes : la basilique aurait été construite en 832 dans le cadre d'un ensemble palatial, qui aurait donc naturellement accueilli le sacre de Charles l'Enfant. Saint-Martial de Limoges paraît jouer alors un rôle politique et mémoriel important pour les rois et ducs d'Aquitaine.

            Pour répondre à une épidémie d'ergotisme, en 994, l'évêque de Limoges Hilduin et son frère Geoffroy, abbé de Saint-Martial, organisent une procession avec les reliques de plusieurs saints limousins, et en premier lieu saint Martial. Ses reliques, tirées de son tombeau, sont placées dans une châsse d'or et transportées en procession jusqu'au Montjovis, un lieu situé à un peu plus d'un kilomètre de l'abbaye (aujourd'hui un quartier du nord-ouest de Limoges), le 12 novembre 994. Là, elles sont présentées à la vénération des fidèles avec celles des autres saints limousins. Elles y demeurent jusqu'au 4 décembre, puis sont rapportées à l'abbatiale. À cette date, l'épidémie s'est interrompue. Le clergé et le duc Guillaume IV d'Aquitaine profitent de ce rassemblement, et de la joie liée à la fin de l'épidémie, pour instaurer la Paix de Dieu. La pratique de la procession et de la présentation des reliques à la vénération des fidèles est ensuite reprise ponctuellement pendant plusieurs siècles, puis une périodicité septennale est instaurée au cours du xvie siècle. Elle reçoit au xiiie siècle le nom d'ostensions.

            Au début du xie siècle, les moines de Saint-Martial de Limoges se lancent dans une entreprise de falsification historique de grande ampleur, pour obtenir que saint Martial soit considéré non plus comme un confesseur de la foi, mais comme un apôtre : ce compagnon du Christ est au sommet de la hiérarchie des saints, alors que le confesseur se place loin derrière, après l'apôtre mais également le martyr. L'histoire recomposée fait donc de Martial le jeune garçon ayant apporté les cinq pains et les deux poissons pour la multiplication des pains. Il aurait ensuite servi les apôtres à table lors de la Cène, avant d'être envoyé par saint Pierre évangéliser la Gaule, à la demande du Christ. En 1023, cette campagne de promotion aboutit à la requalification du saint, de confesseur à apôtre, dans les offices liturgiques célébrés à l'abbaye. L'évêque de Limoges s'y opposant, le duc convoque un concile provincial, réunissant les évêques d'Aquitaine. L'assemblée porte saint Martial au rang des apôtres, ce qui couronne les efforts des moines. L'opposition de l'évêque et des chanoines conduit à plusieurs nouveaux conciles, mais l'opinion des moines prévaut à chaque fois. L'un d'entre eux, Adémar de Chabannes, rédige pour l'un de ces conciles une vita de saint Martial.
            Un chantier de reconstruction complète de l'église abbatiale, consacrée au Sauveur, est lancé vers 1017-1018 pour accompagner cette entreprise de réécriture de l'histoire. Le chantier a pour objectif de promouvoir le pèlerinage, notamment par des locaux plus adaptés. Le chevet de la nouvelle église est dédicacé par l'évêque de Limoges, à la demande de l'abbé Odolric, en 1028. En 1043, un incendie détruit une partie des bâtiments conventuels et endommage le chantier en cours.


            L'abbaye est donnée à l'ordre de Cluny en 1062 par le vicomte de Limoges, Adémar. Les moines de Saint-Martial refusent de reconnaître l'autorité de Cluny, et, après la mort de l'abbé Mainard, l'installation du nouvel abbé, Adémar de Laurière, désigné par l'abbé de Cluny Hugues de Semur, est difficile. Il faut une intervention d'un légat pontifical, Pierre Damien, pour que l'ordre soit rétabli.
            Le premier abbé clunisien, Adémar de Laurière, poursuit et achève les travaux de l'abbatiale : il installe notamment la table d'autel en marbre blanc commandée quelques décennies plus tôt par l'abbé Odolric, et construit les trois dernières travées de la nef de l'abbatiale, à l'ouest. L'église, probablement achevée, est finalement consacrée par le pape Urbain II en 1095, toujours sous l'abbatiat d'Adémar. Il fait également reconstruire une partie des bâtiments conventuels et y ajoute une infirmerie. Il développe également le rayonnement culturel de l'abbaye en y faisant produire des manuscrits richement enluminés.
            Sous le deuxième successeur d'Adémar, Amblard, un incendie endommage les bâtiments conventuels en 1123, conduisant à une nouvelle reconstruction. Ces travaux, comme ceux d'Adémar, sont financés par l'accroissement du temporel de l'abbaye. À la fin du xiie siècle, l'abbaye, comme la ville de Limoges, est prise dans les troubles causés par l'opposition entre Henri le Jeune, son père, Henri II Plantagenêt le roi d'Angleterre, et son frère cadet Richard Cœur de Lion. Pour financer ses campagnes militaires, Henri le Jeune pille le trésor de Saint-Martial. Ces événements, ainsi qu'un conflit lors d'une élection abbatiale en 1214, mettent l'abbaye dans une situation financière difficile. L'abbé Hugues de Brosse (1198-1214) est à l'origine de la reconstruction de l'ensemble des bâtiments conventuels situés autour du grand cloître. Le projet, inscrit dans le cadre d'une émancipation progressive vis-à-vis de Cluny, est extrêmement ambitieux et s'inspire des grands monuments gothiques de la France du nord. L'aile orientale, avec la salle capitulaire, le dortoir et la chapelle Saint-Benoît, sont sans doute achevées en 122410. Les galeries du cloître sont achevées en 1249, après le réfectoire sur lequel elles s'appuient.
            L'abbé Raymond Gaucelm, élu en 1226, rétablit la situation financière de l'abbaye, puis lance de nouveaux travaux de grande ampleur sur les bâtiments conventuels. Il enrichit également le trésor.
            Sous son abbatiat, l'abbaye se détache progressivement de l'ordre de Cluny. Cette séparation est achevée par un accord en 1246.


            En 1535, sous l'impulsion de l'abbé Matthieu de Jovion, l'abbaye bénédictine de Saint-Martial de Limoges est sécularisée et devient une collégiale de chanoines. Elle décline tout au long de la période moderne, et ses bâtiments se dégradent, malgré quelques efforts ponctuels pour relever telle ou telle partie. Ainsi, la chapelle Saint-Benoît, confiée à la grande confrérie de saint Martial se voit restaurée par ses membres jusqu'à en faire « la plus élégante de toutes les constructions du monastère [...], une charmante construction toute à jour, en style gothique, qui reproduisait la forme et les dimensions de la Saint-Chapelle de Paris ». Les chanoines manquent régulièrement d'argent ; en 1730, ils vendent une partie de la bibliothèque au roi de France Louis XV. Dès 1745, une partie des bâtiments conventuels est démolie. L'abbatiale est à son tour démantelée à la suite de la sécularisation des biens du clergé à la Révolution française, après 1791. Les vestiges archéologiques sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 12 mars 2019

              2月 18, 2025

              1A large necropolis existed during the Late Empire around the current Place de la République in Limoges. Within this necropolis several mausoleums were to be located. Two are known today. One of them probably housed a cult to Saint Martial, the first bishop of Limoges, from the 5th century.

              翻訳者 Google •

                2月 18, 2025

                In France there are 173 basilicas. Saint-Michel-des-Lions becomes the 174th", explains Father François Renard. At the head of the Saint-Martial parish, which includes, in addition to Saint-Michel, the churches of Saint-Joseph and Saint-Pierre-du-Queyroix, he learned the news on February 2, 2023.

                Noting that there was no basilica in Limousin, Monsignor Bozo, Bishop of Limoges, launched the procedure in 2020. The process was long and laborious. First, he made his request to all the bishops of France. 97% responded favorably to this request.

                Then he sought the agreement of the Congregation for Divine Worship and the Discipline of the Sacraments, placed under the authority of a cardinal prefect. With the help of Mathias Martin, a layman, member of the sacred art commission in Limoges, Father Renard, the bishop and all the parish's vital forces responded to a questionnaire in Latin.

                They drew up an inventory of the monument and created a complete list of the movable and liturgical heritage contained in this place. Sent to Rome in April 2021, this document took a long time to return to Limoges. In November, Monsignor Bozo, passing through the Vatican, relaunched the prelates. A tenacity that proved to be profitable.

                If the cathedral remains the mother church of a city, the basilica is, for tourists and pilgrims, a reference. To obtain this title, the building must be built on a tomb that is very strong in terms of symbolism and commemoration.
                Saint-Michel houses the tomb of Saint Martial, thirteenth apostle of Aquitaine and above all the first bishop of Limoges. Thus, Saint-Michel is linked to the universal church of Rome.


                As luck would have it, it became a basilica when the 2023 ostensions began on March 19. That day, during the flag-raising ceremony, François Renard read the decree during the mass. The blessing will then follow.
                Believers or not, the people of Limoges are attached to what must now be called the basilica. In the 6th century, there was a small chapel dedicated to Saint Michael and John the Baptist on this site. Founded in 535 by Rorice II, Bishop of Limoges, it was located in the middle of a cemetery, guarded by granite lions. They symbolize the protective deities because they are reputed to sleep with one eye and watch over sleeping souls.


                The work began in 1364 and was completed in 1455, the year of the consecration. In 1373, construction began on the bell tower, which was 70.91 metres high at the time. Saint-Michel-des-lions has a particularity. The pillars inside are not straight.
                Named "Temple of Reason" during the Revolution, the church has a rich heritage of buildings. The stained glass windows are superb. The triptych on the ostensions dates from 1875. It shows Clement V, Edward I of England, Philip the Bold, son of Saint Louis, and Alienor of Aquitaine bowing before the head of Saint Martial.
                The basilica should benefit from greater visibility. The town signs will be modified and inside, the information on hunting and the tomb will be denser. Its bas-reliefs show the most significant episodes in the life of the holy founder of Limoges. All of this will be highlighted. In short! Tourists and pilgrims will soon have the "basilica instinct".


                Jean-François Julien
                Le Populaire du Centre

                翻訳者 Google •

                  2月 18, 2025

                  Saint Loup, Bishop of Limoges, gave a Saint-Michel chapel to the canons of Saint Martial around 630.
                  Two fires in Limoges, in 1123 and 1147, destroyed the church. It was the monk Pierre de Verteuil who rebuilt it. The church was consecrated in 1213. This new church collapsed and the first stone of a new church was laid in 1364. Of this, two chapels and part of the walls remain.


                  In 1552, enlargement work was carried out with a bay added to the west, remarkable for its large stained glass windows. Work was carried out over the following centuries, particularly on the bell tower (1604, 1754, 1810).

                  It is a Gothic-style church, built between the 14th and 16th centuries. It has a typical Limousin bell tower (like the Saint-Étienne cathedral) topped with a curious metal ball.
                  In 1810, when lightning struck the church bell tower, the religious building was damaged. The soldier in charge of the project to restore the monument's spire had the idea of topping it with a ball, "to facilitate triangulation operations and geodesic measurements". This sphere weighs 600 kg and is about two meters in diameter. The people of Limoges have become accustomed to this military appendage (a hotel even borrows its name from it: the Hôtel de la Boule d'Or) which is very exposed to the wind and once again puts the building in danger. Restoration work is underway and the debate rages between those who want a bell tower with or without a ball.
                  The members of the Limousin Archaeological and Historical Society are also divided between boulophiles and boulophobes. The Prefect of the time decided by asking the opinion of the Ministry of Fine Arts. A new ball had to replace the old one; the First World War was declared. The new sphere was openwork and made of copper. It waited until the end of the war to find its place alongside the weather vane, which had not moved since 1824.
                  The church was listed as a historical monument in 1903.
                  The lions, from the Gallo-Roman period, were probably funerary monuments placed at the entrance to the public ancient necropolises. They always remained in the same place, once the cemetery became Christian, then when the cemetery was moved for reasons of sanitation.

                  翻訳者 Google •

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