Il y a longtemps, il y a de nombreuses années, une grande ville de Raigardas était située au sud de Druskininkai, près du village de Švendubrė. Le riche et chic Raigard était bien connu de tout son entourage, célèbre pour sa grandeur et sa beauté. Malheureusement, les habitants de Raigardas eux-mêmes étaient avides, fiers et hypocrites. Ils ont oublié leur travail, chaque jour fiers de vivre dans leur belle ville.
La plus grande décoration de la ville était peut-être l'église - des tours hautes, brillantes et hautes comme le ciel. Malheureusement, les habitants pécheurs de la ville ont lentement cessé de la visiter et l'ont même complètement abandonnée.
À l'époque où vivait cette ville de Raigard, les forêts, les ravins, les marécages et les ravins regorgeaient encore de démons. L'un d'eux, le plus grand et le plus fort, par une nuit sombre, accroupi secrètement sur une souche et regardant la ville de Raigard et sa magnifique église, qui brillait miraculeusement même dans l'obscurité, a décidé de perdre cette beauté et de se moquer des ingrats, des délaissés habitants de Raigard. Avec les autres diables cette nuit-là, il a couru ici et là, à travers les montagnes et les collines, les champs et les prairies, jusqu'à ce qu'il trouve finalement une énorme pierre. Le diable puissant le roula par les cornes, le sabota et le porta durement vers la cité de Raigard. Son idée était furieuse et terrible, tout comme le diable lui-même : jeter une pierre sur l'église de Raigard et ainsi la briser.
Le diable maléfique se dépêcha, et lorsque les clochers de l'église commencèrent à briller à l'horizon, il se mit à rire malicieusement. Mais, il s'avère que ces nuits ont été courtes, ou peut-être que le diable a pris trop de temps pour porter la pierre, et ce matin d'aube soudain a été annoncé par un coq chantant tout autour. Le diable n'avait pas encore réussi à atteindre la ville de Raigard, mais lorsqu'il entendit le chant, il lança aussitôt une pierre et disparut.
La pierre perdue a roulé jusqu'à Švendubrė et y est encore aujourd'hui.